NICOLAÏ ou NICOLAY,
D'azur à la levrette courante d'argent colletée et bouclée de gueules. Nicolaï. PIT II-231, I-270 D'azur à la levrette courante d'argent colletée et bouclée d'or. Nicolay. PIT D'azur, au lévrier d'argent, colleté d'un collier de gueules, bordé, bouclé, et cloué d'or. Supports : deux lévriers semblables à celui de l'écu, ayant leurs têtes contournées. Couronne de marquis. Cimier : un casque taré de front, surmonté d'une tête de maure au naturel. Devise : LAISSEZ DIRE. ........ Famille associée aux Cavaillon, Mantin, Cardebas de Bot, Vesc, Montaigu, Bailliet, Molé, Maillé, Lamoignon, Mortemart, La Fare, Vintimille, de Forbin-Janson,
Jarente, Roncherolles, La Châtre, Potier de Novion, Bercy, Lostanges, Levis, Murat, Lameth, Durfort de Lorge, Noailles, Grammont, Beauffort, Bonneval, etc.
Fiefs : Sabran, Cavillargues en Languedoc
Généalogie
- Par lettres patentes de 1645, Anne d'Autriche, voulant récompenser les services rendus depuis plusieurs générations par la maison de Nicolay,
- érigea la terre de Goussainville en marquisat en faveur d'Antoine Nicolay et de ses descendants.
Page 1a
Page 1b
NICOLAÏ ou NICOLAY,
D'Arles. D'azur à une fasce d'argent, accompagnée de trois étoiles d'or, 2 en chef et l'autre en pointe (Provence).
NlCOLAÏ.
Cette famille a pour auteur Simon Nicolaï, qui fut cotisé au rôle d'Arles, comme nouveau chrétien de race judaïque, en 1512.
Jean Nicolaï, fils de Simon, fut un jurisconsulte célèbre. La critique du Nobiliaire de Provence porte que le nom de cette famille est Nicolas, et qu'elle en a changé
la dernière lettre en i, pour faire perdre la tracé de son origine, et pour se donner plus d'analogie avec l'illustre famille de ce nom.
Mais, ajoute le même auteur, ceux qui ont connu Simon Nicolas, néophyte, et ses petits-fils, ne connaissent dans le gouverneur de la ville d'Arles d'autre tige
que Simon, dont la famille n'aura pas une noblesse suffisante pour être maintenue, quand il y aurait six gouverneurs d'Arles de père en fils.
Cependant cette famille a été maintenue par les commissaires départis par le roi, le 13 avril 1669.