de MEIRAN ou de MEYRAN,

    • Famille originaire des Saintes-Maries-de-la-Mer
    • Anoblie en 1515 par François Ier, et en 1582 par Henri III.
    • Palé et contre palé d'argent et d'azur à la fasce d'or brochant sur le tout.  PIT II-255, 454
    • Palé-contre-palé de cinq pièces à la fasce brochant ou: coupé à deux pals de l'un en l'autre, à la fasce brochant. RIE
    •   (confirmé à 5 pièces et non 6, comme semble l'indiquer la description "palé-contre-palé")


    Meyran 2  

        Familles associées : Arcussie, Barrème, Castellane, Chiavari, des Isnards, Merles, Quiqueran, St Martin, du Blanc de Brantes, Forbin-Janson, Mus, Montaigu, Porcelet,...
        Fiefs : sg d'Ubaye, de Nans, de Saint-Vincent, de Sainte-Croix, de Vachières, marquis de la Goy.

        Meyran de Lagoy : Famille associée aux Isnards

        de MEYRAN de La Goy, en Provence.
        Cette famille remonte à Etienne Meyran , anobli par lettres du roi Henri III, du mois de juillet 1582 ; lettres confirmées par d'autres, données en Saint-Germain-en-Laye
        au mois de janvier 1676.
        Cette famille a donné un ambassadeur à la Porte-Ottomane, dans la personne d'Étienne, qui fut anobli, et plusieurs officiers supérieurs.
        La seigneurie de la.Goy, en Provence, fut érigée en marquisat par lettres du mois de novembre 1702 , en faveur de Jean de Meyran, seigneur de Nans, gouverneur de Saint-Remy.

        MEYRAN DE LA GOY (le marquis Auguste-Edmond), à Aix (Bouches -du -Rhône), et au château de Lagoy, par
        Saint-Rémy (Bouches-du-Rhônej, marié à Siffrénie des Isnards, dont une fille, mariée au marquis de Montaigu.


        de MEYRAN D'Ubaye, en Provence.

        Cette famille paraît avoir une origine commune avec la précédente  mais elle est anoblie antérieurement.
        Jean Baptiste Meyran, qui en est la souche, reçut du roi René, comte de Provence, l'inféodation de la seigneurie de Carqueirane.
        Louis, fils de ce Jean, fut anobli par le roi François Ier, au mois de février 1515.
        André de Meyran d'Ubaye, fut reçu chevalier de Saint-Jean de Jérusalem en 1592.

        Source : Dictionnaire véridique des origines des famlles nobles ou anoblies de France.



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